vendredi 17 octobre 2014

Charlotte de David Foenkinos

Ahh David Foenkinos,

Rencontre ultra-rapide au Salon du livre de Mouans-Sartoux je me suis jetée sur Charlotte une fois assise lamentablement par terre et contre un mur face à la scène du Café littéraire du salon.
Et la ce fut la révélation, dés les premières lignes je fut transportée
dans les méandres de l'obsession de David Foeniknos : Charlotte Salomon

Charlotte un prénom commun, celui de beaucoup, le nom du quartier berlinois et le prénom de la tante de Charlotte Salomon et son prénom.

David Foenkinos voue une réelle obsession à l'artiste peintre Allemande Charlotte Foenkinos décédée trop tôt dans un camp en 1943. Le schéma est posé dés la première page, le lecteur est prévenu, la fin heureuse ce ne sera pas ici.
Cette obsession, il nous l'a transmet.

C'était la première fois que je me lançais dans un roman de David Foenkinos et je ne fut pas déçue, un plaisir tout du long. Une écriture fluide et imagière. J'aime...

Un livre sur une vie, une vie bien trop courte. Une vie ou la mort prend tout son sens et toute sa définition.
Un livre sur les juifs artistes/médecins qui à l'arrivée de la guerre se posent des questions.

Un citation de Billy Wilder " Les pessimistes ont fini à Hollywood, et les optimistes à Auschwitz" reprise par David Foenkinos  avec " Il faut être optimiste, se dire que la haine est périssable" ( p.55). A elle seule cette phrase donne le ton pour la vie et la destinée de la famille de Charlotte et la sienne.

A lire :)

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